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Municipales

| Seyssel |

lundi 13.01.2014, 15:08

Maurice Mégevand candidat aux municipales

L’ancien transporteur espère trouver des colistiers pour briguer la mairie, sous la bannière "Bougeons Seyssel dès 2014". L’ancien transporteur espère trouver des colistiers pour briguer la mairie, sous la bannière « Bougeons Seyssel dès 2014 ».
Déjà candidat sans étiquette en juin 2012 pour les législatives sur la 4eme circonscription de Haute-Savoie, Maurice Mégevand, à la tête d’une entreprise de transports routiers pendant 35 ans, aujourd’hui retraité, se présente comme tête de liste aux prochaines élections municipales. Avec un slogan évocateur : « Bougeons Seyssel dès 2014 ».

Quel est votre message principal aujourd’hui ?

Je fais appel à toutes les bonnes volontés seysselanes qui voudraient me rejoindre, afin de constituer une liste apolitique. Tout le monde est le bienvenu, quelles que soient ses opinions politiques. On est là pour Seyssel, pas pour faire de la politique.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix ?

Aujourd’hui, j’ai envie d’appeler Seyssel la belle endormie. Souvent j’ai des amis qui viennent me rendre visite et qui trouvent la ville sympa. Et puis à la fin de la journée, ils me disent : « On n’a pas rencontré beaucoup de monde dans les rues, il n’y a pas grand chose qui bouge. » On a un bel outil, qu’on a laissé se vider. La ville n’est plus ce qu’elle était dans les années 50-60.

Quelles étaient ses caractéristiques à l’époque ?

Il y avait des entreprises, des commerçants, les gens consommaient sur place. Ce n’était pas ce que c’est devenu aujourd’hui. Dans beaucoup de villes, c’est comme ça. Ici, on est tombé trop bas, il y a moyen de faire quelque chose pour redynamiser la ville, sans projets pharaoniques.

Par quels moyens ?

En amenant des petites entreprises qui font tourner le petit commerce. À commencer par les hôteliers, les restaurateurs et tous les commerçants. Le commerce industriel, c’est le moteur d’une ville. Il faut aussi qu’on fasse un effort sur l’accueil, autant pour les Seysselans que pour ceux qui viennent de l’extérieur. Évitons qu’ils marchent sur des crottes de chien ou qu’ils tombent sur des trottoirs mal entretenus. Aujourd’hui, on ne fait rien pour attirer le client ! J’aimerais faire revivre Seyssel.

Une manière de suivre les traces de votre grand oncle ?

Mon grand oncle, Jules Coissard, a été maire de Seyssel dès 1919, pendant 19 ans. Il a également été conseiller général de 1925 à 1940. C’était une pointure. Il n’y avait pas le Conseil régional à l’époque. Et c’était un ami d’Edouard Herriot ! Il a été à l’origine du groupe scolaire qui porte son nom.

Quel regard portez-vous sur la politique municipale menée ces dernières années à Seyssel ?

Sur les trente dernières années, tout a disparu. On n’a rien fait pour se développer, contrairement à d’autres communes des alentours, comme Chêne, Frangy… Ici, tout a disparu. Il reste seulement quelques petits entrepreneurs qui se battent.

Prenons la régie d’électricité de Seyssel, créée par Jules Coissard, pour installer l’électricité à Seyssel et avoir un coût modique. Christian Monteil l’a vendue à Suez. Maintenant on paie le prix d’EDF, en ayant l’électricité du barrage que Jules Coissard a fait construire ! Tout ce qu’on avait de bon est parti.

Quel est votre credo ?

Ramener du monde à Seyssel, redynamiser la ville, et puis, insister au niveau de l’accueil, de la propreté et de la sécurité des gens. Ce n’est pas mon genre de faire des promesses à tout va.

Propos recueillis par JULIEN CHAMPCLOS

Vous pouvez contacter Maurice Mégevand au 07 71 01 67 17, par mail : maurice.megevand@neuf.fr, via son site internet : www.maurice-megevand.com

Journal La Tribune Républicaine

LES GRANDES LIGNES DE SON PROGRAMMEMaurice Mégevand   espère convaincre des colistiers de venir le rejoindre sur sa liste, en axant son programme sur « le maintien des entreprises et commerces actuels, un stationnement strictement réglementé (des parkings existent), la recherche et la facilité d’implantation de nouvelles petites entreprises qui, en aucun cas, ne devront concurrencer celles en place.  Ce qui facilitera automatiquement le développement des commerces en place, en particulier l’hôtellerie et la restauration ».
Parmi ses autres priorités,  « la sécurisation et l’aménagement touristique de la route du Val de Fier, avec des coûts de réalisation qui n’incombent pas aux deux communes ».  Il prévoit aussi « l’organisation plusieurs jours par semaine d’excursions en car au départ de Seyssel.  Celles-ci auraient l’avantage de faire découvrir les deux Savoie, l’Ain et même la Suisse aux vacanciers et habitants de Seyssel ».
Le développement touristique  passe, selon lui, par « un accueil irréprochable, une parfaite propreté des trottoirs, des poubelles qui ne devront plus déborder, une réfection des trottoirs, la création de baquets au droit des passages piétons ».

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Merroutage et ferroutage: ces millions d’euros qui « partent en fumée ».

Quand va t’ on cesser de subventionner ces transports gadgets que sont le merroutage et le ferroutage au lieu de simplement favoriser le transport combiné classique ou seules les caisses mobiles empilables sont transportées sur route, rail, mer ou fleuves?                   Maurice Mègevand.

L’information du transport et de la logistique au quotidien > rubriques > air / fer / mer

Vous êtes ici : Autoroutes de la mer : Louis Dreyfus persiste
09/01/2014 | Air / fer / mer
Les autoroutes de la Mer peinent à trouver leur public, ce qui n’empêche pas l’armateur Louis Dreyfus de lancer trois nouvelles lignes. En 2013, la liaison transgascogne affichait un taux de remplissage de 72%, et avait transporté 20.000 camions, ainsi que 30.000 voitures neuves.

Lancées avec beaucoup d’enthousiasme et de subventions en 2010, les autoroutes de la mer franco-espagnole n’ont pas encore trouvé leur équilibre. Pour aider à leur démarrage, l’armateur Louis Dreyfus a touché 30 millions d’euros des Etats français et espagnol, plus 4 millions d’euros du

Mon coup de gueule du jour: elle n’avait que 37 ans et était enceinte de 7 mois….

 

Quand est-ce que nos Maires, Présidents de Conseils Généraux, Préfets, Présidents de la République, prendront conscience que leur premier devoir consiste à protéger les citoyens par la prévention des risques naturels chaque fois que cela est possible?

Sinon à quoi servent les Directions Départementales de la Protection des Populations (DDPP)?

Souhaitons de toutes nos forces qu’un pareil drame ne se produise pas dans le Val de Fier.

Maurice Mègevand.

Un reportage de FR 3 Aquitaine……

Nouvel éboulement à Frangy sur la D 1508 reliant Bellegarde à Faverges via Annecy.

Comme je le propose pour la sécurisation de la route du Val de Fier, il suffirait d’ excaver sur toute cette longueur et sur une bonne largeur la partie allant du pied de falaise aux blocs en béton en place afin de créer un « un piège à cailloux » en cas d’éboulement.

Fil Infos regionales

jeudi 02.01.2014, 12:21

Frangy – Eboulement sur la RD 1508, on circule en alternat

10 à 20 tonnes de rochers ont  bousculé les gabions. 10 à 20 tonnes de rochers ont bousculé les gabions.
Des rochers se sont à nouveau éboulés dans les virages entre Frangy et Mons.

Le secteur est connu pour son instabilité : dans les virages entre Frangy et Mons, le long des Usses, des roches dévalent régulièrement le talus calcaire qui domine la route à droite. L’aternance gel-dégel, couplé au ruissellement pluvial provoque régulièrement des glissements d’un terrain qui ne demande que ça. Une nouvelle chute de rochers a eu lieu mercredi 1er janvier à 4h50, suffisamment conséquente, 10 à 20 tonnes selon les estimations, pour bousculer les gabions protégeant la chaussée. Un évitement a été insallé à l’aide de quilles par le service des routes du département, en attendant une intervention lourde. La circulation se fait en alternat. D’autres glissements sont attendus par les spécialistes. La prudence est donc recommandée, jusqu’à nouvel ordre, aux automobilistes aux abords et lors de la traversée de la zone sinistrée.

Journal La Tribune Républicaine

 

 

La Tribune Républicaine du 26 12 2013.

Ici, la Une de la TRIBUNE.pdf 2

Dans le monde du Transport, comme ailleurs, arrêtons en France d’entraver tout ce qui fonctionne encore ou qui pourrait se développer; et cela pour le bien de tous!

Merci à La Tribune Républicaine de m’avoir permis de m’exprimer.

En illustration de mes propos voici la vidéo du reportage diffusé au cours du JT de TV8 Mont+Blanc le 15 Juin 2005.


 Maurice Mégevand TV8 Mt BLANC par megevandtrimodal

 

Tunnel long sous le Semnoz.

Il s’agit effectivement d’une RELANCE puisque c’est, comme je le rappelle dans ce reportage, un projet datant des années 1960…..

Liaison routiere Annecy-Faverges.

Mon rappel du projet de liaison rapide Annecy-Faverges, datant des années 1960, au JT de TV 8 Mont-Blanc.

 


 

Je suis ce soir au JT de TV8 Mont+BLANC à propos de la route 1508 Annecy-Faverges.

Rediffusions à 19h30, 22h15, 23h15 et 00h

En Haute-Savoie aussi la vrai solution multimodale qu’est le transport combiné est d’actualité

Et oui, pendant que nous tous, citoyens Français nous finançons et subventionnons le ferroutage très déficitaire, des transporteurs routiers et des industriels (les chargeurs) développent le  vrai transport combiné rail-route ou fluvial.

Au départ de l’entrepôt logistique Mégevand Frères à Sillingy, cette caisse mobile chargée de 25 tonnes de jus de fruit de la marque Haut-Savoyarde « Fruité » à destination de la plateforme Casino de Gael en Bretagne, sera acheminée par le rail de Macon jusqu’à la plateforme « combiné » de Rennes. Ce transport est assuré dans son intégralité par le transporteur routier Lahaye.

Alors, en 1996, n’étais-je pas dans le vrai????

Les municipales à Seyssel Haute-Savoie.

Extraction du JT par TV 8 Mont-Blanc: