Gilles Meunier annonce le retrait de ma candidature au cours du JT sur 8 Mont+Blanc.

 

. Bougeons Seyssel dès 2014; fin.

Et bien non, nous ne bougerons pas Seyssel dès 2014

 MERCI à vous toutes et tous pour ces beaux témoignages exprimés par votre engagement ou vos bonnes paroles mais qui n’auront malheureusement….

« Bougeons Seyssel dès 2014 » Débat.

8 Mont+Blanc REPUBLIQUE débat du 11 Février 2014 municipales de Seyssel

http://8montblanc.fr/replay/?sort=latest&slg=rep-em14

 

Municipales 2014 à Seyssel dans REPUBLIQUE sur TV 8 Mont+Blanc.

Dès 19 h ce Mardi 11 Février, les trois « tête de listes », débattons au cours de l’émission REPUBLIQUE sur TV 8 Mont+Blanc.

http://8montblanc.fr/replay/?sort=latest&slg=rep-em14

fév 11 @ 19 h 00 min – 19 h 30 min

fév 11 @ 22 h 45 min – 23 h 15 min

fév 12 @ 5 h 00 min – 5 h 30 min

fév 12 @ 8 h 00 min – 8 h 30 min

fév 12 @ 13 h 00 min – 13 h 30 min

fév 13 @ 11 h 00 min – 11 h 30 min

 

Le Dauphiné Libéré de ce jour annonce ma candidature.

A ce jour, n’ayant toujours pas réuni autour de moi le nombre suffisant de colistiers(res), je renouvelle mon appel à toutes les bonnes volontés Seysselanes.

Seyssel Haute-Savoie: municipales de 2014.

 

« Bougeons Seyssel dès 2014″

 

En déclarant ma volonté d’être tête d’une liste sans étiquette intitulée « Bougeons Seyssel dès 2014 », je m’adresse à ceux de  mes concitoyens qui accepteraient de me rejoindre et qui seraient comme moi prêts à relever le challenge que je propose ci-dessous, à condition que les électrices et électeurs nous accordent leur confiance.

       nos principales préoccupations seront :

     le maintient des entreprises et commerces actuels

       un stationnement strictement réglementé (des parkings existent)

       la recherche et la facilité d’implantation de nouvelles petites entreprises qui en aucun cas ne devront concurrencer celles en place

       l’arrivée d’entreprises facilitera automatiquement le développement des commerces en place, en particulier l’hôtellerie et la restauration qui devront donc se développer

       d’imposer immédiatement la sécurisation et l’aménagement touristique de la route du Val de Fier, les coûts de réalisation n’incombent pas aux deux communes mais les Maires sont les seuls élus impliqués en cas d’accident grave

       l’organisation plusieurs jours par semaine d’excursions en car au départ de Seyssel. Celles ci auraient l’avantage de faire découvrir les deux Savoies, l’Ain et même la Suisse aux vacanciers et habitants de Seyssel. Je suis bien placé pour affirmer que ce système fonctionnait parfaitement au cours des années 1950-1960  sans subvention !

           

       le tourisme pouvant être un second atout pour notre commune ne se développera que si notre cité redevient accueillante à savoir :

       une parfaite propreté des trottoirs (déjections canines)

       des poubelles qui ne devront plus déborder tout simplement en jouant sur la civilité de nos concitoyens qui devront utiliser la déchèterie parfaitement accessible et bien conçue

       par une réfection des trottoirs (ils sont nombreux)

       par la création de baquets au droit des passages piétons (c’est la moindre des choses)

Quels que soient les aménagements lourds réalisés à grands frais sur notre commune, nous n’auront jamais le potentiel de la Haute Savoie et par conséquent, j’insiste, accueillons correctement nos visiteurs par ces aménagements peu onéreux, cela bénéficiera à nous tous, habitants de Seyssel. Tout le monde s’en portera mieux !

Pour me contacter : 07 71 01 67 17

 maurice.megevand@neuf.fr

 www.maurice-megevand.com

Ou en me rendant visite au 1 rue du Mont des Princes.

Encore un éboulement qui heureusement se termine bien.

Une preuve éclatante que les éboulements ne se produisent pas toujours sur des lieux précis d’ ou mon insistance à obtenir la sécurisation de la route du Val de Fier sur toute la portion à risques située sur les communes de Seyssel et de Val de Fier.

Mise en ligne ce jour du dossier « Municipales » sur le site de La Tribune Républicaine.

Municipales

| Seyssel |

lundi 13.01.2014, 15:08

Maurice Mégevand candidat aux municipales

L’ancien transporteur espère trouver des colistiers pour briguer la mairie, sous la bannière "Bougeons Seyssel dès 2014". L’ancien transporteur espère trouver des colistiers pour briguer la mairie, sous la bannière « Bougeons Seyssel dès 2014 ».
Déjà candidat sans étiquette en juin 2012 pour les législatives sur la 4eme circonscription de Haute-Savoie, Maurice Mégevand, à la tête d’une entreprise de transports routiers pendant 35 ans, aujourd’hui retraité, se présente comme tête de liste aux prochaines élections municipales. Avec un slogan évocateur : « Bougeons Seyssel dès 2014 ».

Quel est votre message principal aujourd’hui ?

Je fais appel à toutes les bonnes volontés seysselanes qui voudraient me rejoindre, afin de constituer une liste apolitique. Tout le monde est le bienvenu, quelles que soient ses opinions politiques. On est là pour Seyssel, pas pour faire de la politique.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix ?

Aujourd’hui, j’ai envie d’appeler Seyssel la belle endormie. Souvent j’ai des amis qui viennent me rendre visite et qui trouvent la ville sympa. Et puis à la fin de la journée, ils me disent : « On n’a pas rencontré beaucoup de monde dans les rues, il n’y a pas grand chose qui bouge. » On a un bel outil, qu’on a laissé se vider. La ville n’est plus ce qu’elle était dans les années 50-60.

Quelles étaient ses caractéristiques à l’époque ?

Il y avait des entreprises, des commerçants, les gens consommaient sur place. Ce n’était pas ce que c’est devenu aujourd’hui. Dans beaucoup de villes, c’est comme ça. Ici, on est tombé trop bas, il y a moyen de faire quelque chose pour redynamiser la ville, sans projets pharaoniques.

Par quels moyens ?

En amenant des petites entreprises qui font tourner le petit commerce. À commencer par les hôteliers, les restaurateurs et tous les commerçants. Le commerce industriel, c’est le moteur d’une ville. Il faut aussi qu’on fasse un effort sur l’accueil, autant pour les Seysselans que pour ceux qui viennent de l’extérieur. Évitons qu’ils marchent sur des crottes de chien ou qu’ils tombent sur des trottoirs mal entretenus. Aujourd’hui, on ne fait rien pour attirer le client ! J’aimerais faire revivre Seyssel.

Une manière de suivre les traces de votre grand oncle ?

Mon grand oncle, Jules Coissard, a été maire de Seyssel dès 1919, pendant 19 ans. Il a également été conseiller général de 1925 à 1940. C’était une pointure. Il n’y avait pas le Conseil régional à l’époque. Et c’était un ami d’Edouard Herriot ! Il a été à l’origine du groupe scolaire qui porte son nom.

Quel regard portez-vous sur la politique municipale menée ces dernières années à Seyssel ?

Sur les trente dernières années, tout a disparu. On n’a rien fait pour se développer, contrairement à d’autres communes des alentours, comme Chêne, Frangy… Ici, tout a disparu. Il reste seulement quelques petits entrepreneurs qui se battent.

Prenons la régie d’électricité de Seyssel, créée par Jules Coissard, pour installer l’électricité à Seyssel et avoir un coût modique. Christian Monteil l’a vendue à Suez. Maintenant on paie le prix d’EDF, en ayant l’électricité du barrage que Jules Coissard a fait construire ! Tout ce qu’on avait de bon est parti.

Quel est votre credo ?

Ramener du monde à Seyssel, redynamiser la ville, et puis, insister au niveau de l’accueil, de la propreté et de la sécurité des gens. Ce n’est pas mon genre de faire des promesses à tout va.

Propos recueillis par JULIEN CHAMPCLOS

Vous pouvez contacter Maurice Mégevand au 07 71 01 67 17, par mail : maurice.megevand@neuf.fr, via son site internet : www.maurice-megevand.com

Journal La Tribune Républicaine

LES GRANDES LIGNES DE SON PROGRAMMEMaurice Mégevand   espère convaincre des colistiers de venir le rejoindre sur sa liste, en axant son programme sur « le maintien des entreprises et commerces actuels, un stationnement strictement réglementé (des parkings existent), la recherche et la facilité d’implantation de nouvelles petites entreprises qui, en aucun cas, ne devront concurrencer celles en place.  Ce qui facilitera automatiquement le développement des commerces en place, en particulier l’hôtellerie et la restauration ».
Parmi ses autres priorités,  « la sécurisation et l’aménagement touristique de la route du Val de Fier, avec des coûts de réalisation qui n’incombent pas aux deux communes ».  Il prévoit aussi « l’organisation plusieurs jours par semaine d’excursions en car au départ de Seyssel.  Celles-ci auraient l’avantage de faire découvrir les deux Savoie, l’Ain et même la Suisse aux vacanciers et habitants de Seyssel ».
Le développement touristique  passe, selon lui, par « un accueil irréprochable, une parfaite propreté des trottoirs, des poubelles qui ne devront plus déborder, une réfection des trottoirs, la création de baquets au droit des passages piétons ».

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Merroutage et ferroutage: ces millions d’euros qui « partent en fumée ».

Quand va t’ on cesser de subventionner ces transports gadgets que sont le merroutage et le ferroutage au lieu de simplement favoriser le transport combiné classique ou seules les caisses mobiles empilables sont transportées sur route, rail, mer ou fleuves?                   Maurice Mègevand.

L’information du transport et de la logistique au quotidien > rubriques > air / fer / mer

Vous êtes ici : Autoroutes de la mer : Louis Dreyfus persiste
09/01/2014 | Air / fer / mer
Les autoroutes de la Mer peinent à trouver leur public, ce qui n’empêche pas l’armateur Louis Dreyfus de lancer trois nouvelles lignes. En 2013, la liaison transgascogne affichait un taux de remplissage de 72%, et avait transporté 20.000 camions, ainsi que 30.000 voitures neuves.

Lancées avec beaucoup d’enthousiasme et de subventions en 2010, les autoroutes de la mer franco-espagnole n’ont pas encore trouvé leur équilibre. Pour aider à leur démarrage, l’armateur Louis Dreyfus a touché 30 millions d’euros des Etats français et espagnol, plus 4 millions d’euros du

Mon coup de gueule du jour: elle n’avait que 37 ans et était enceinte de 7 mois….

 

Quand est-ce que nos Maires, Présidents de Conseils Généraux, Préfets, Présidents de la République, prendront conscience que leur premier devoir consiste à protéger les citoyens par la prévention des risques naturels chaque fois que cela est possible?

Sinon à quoi servent les Directions Départementales de la Protection des Populations (DDPP)?

Souhaitons de toutes nos forces qu’un pareil drame ne se produise pas dans le Val de Fier.

Maurice Mègevand.

Un reportage de FR 3 Aquitaine……